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First, that you be truly repentant of your former evil life, and that you confess with an unfeigned heart to Almighty God your sins and unkindness towards his Majesty committed, either by will, word, or deed, infirmity or ignorance and that with inward sorrow and tears you bewail your offences, and require of Almighty God mercy and pardon, promising to him (from the bottom of your hearts) the amendment of your former life. And among [st] all others, I am commanded of God, especially to move and exhort you to reconcile yourselves to your neighbourg [s], whom hou have offended, or who hath offended you, putting out of your hearts all hatred and malice against them, and to be in love and charity with all the world, and to forgive other as you would that God should forgive you. And if any man have done wrong to any other, let him make satisfaction, and due restitution of all lands and goods, wrongfully taken away or withholden, before he come to God's board, or at the least be in full mind and purpose se to do, as soon as he is able; or else let him not come to this holy table, thinking to deceive God, who seeth all men's hearts. For neither the absolution of the priest can any thing avail them, nor the receiving of this holy sacrament doth any thing but increase their damnation.

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And if there be any of you, whose conscience is troubled and grieved in any thing, lacking comfort or counsel, let him come to me, or to some other discreet and learned priest, taught in the law of God, and confess and open his sin and grief secretly, that he may receive such ghostly counsel, advice, and comfort, that his conscience may be relieved, and that of us (as of the ministers of GOD 14 and of the church) he may receive comfort and absolution, to the satisfaction of his mind, and avoiding of all scruple and doubtfulness :

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requiring such as shall be satisfied with a 'general confession, no to be offended with them that do use, to their further satisfying, the auricular and secret confession to the priest; nor those also which think needful or convenient, for the quietness of their own consciences, particulary to open their sins to the priest, to be offended with them that are satisfiea with their humble confession to GOD, and the general confession to the church. But in all 16 things to follow and keep the rule of charity, and every man to be satisfied with his own conscience, not judging other men's minds or consciences; where as he hath no warrant of God's word to the same.

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Les opinions émises dans les articles signés n'engagent que la responsabilité des auteurs.

MÉDAILLE DE JEANNE D'ARC

Jeanne terrassant la Franc-Maçonnerie

A l'heure présente, un peu partout, mais | surtout en France, deux armées sont aux prises l'armée de Dieu et de la religion, et la franc-maçonnerie.

Le Souverain Pontife a dénoncé le danger qui menace la société civile, en même temps que le caractère criminel de la secte, ses projets et ses artifices.

II invite les chrétiens à combattre et à repousser l'ennemi, non pas avec des armes dissimulées ou dans les ténèbres, mais en pleine lumière et bien ouvertement.

On a voulu répondre à la voix du Pape, par une médaille que chacun porterait comme un signe de sa foi et de sa soumission.

seulement son étendard où brillent les noms de Jésus et Marie. De l'extrémité de la hampe, elle frappe et traverse le dragon représentant la Franc-Maconnerie. Le monstre est revêtu des insignes maçonniques; dans sa rage impie il renverse le calice et l'hostie, et il exhale son cri de rage; Ni Dieu ni Maître. Le cheval se cabre audessus des Saints Mystères profanés; et Jeanne triomphe dans sa faiblesse, en poussant le cri de guerre: De par le Roi du Ciel!

On a su, avec un art parfait, renfermer dans les limites étroites d'une médaille tout ce drame religieux et patriotique. C'est un petit chef-d'oeuvre de dessin et de

Nous tenons cette médaille en argent à la disposition de nos lecteurs.

Cette médaille qui est une véritable ceu-gravure. vre d'art, réunit l'amour de l'Eglise et l'amour de la France sous les traits de Jeanne d'Arc terrassant la Franc-Maçonnerie.

Tout le monde connaît l'ordre venu du grand Maître interdisant aux loges d'accepter la fête nationale de Jeanne la bonne Française, et l'opposition que la secte continue de faire à la Pucelle et à son triomphe.

C'est de là que vient l'idée ou le dessin de la médaille.

Jeanne à cheval, armée du secours de Dieu, ne porte ni casque ni épée; elle tient

Il suffit d'adresser, en mandat-poste, autant de fois 4 fr. 25 que l'on désire recevoir d'exemplaires.

Par unité, ajouter 0 fr. 30 en sus pour la recommandation à la poste.

Par quantité de 1 douzaine et au-dessus, et pour les localités desservies par le chemin de fer, en raison de la valeur déclarée, compter un minimum de deux franes pour le port et l'emballage.

Envoyer les lettres et mandats à M. l'administrateur de la Revue, 17, rue Cassette.

JACQUES DE SAROG

ET LE SAINT SACRIFICE OFFERT POUR LES MORTS

Jacques de Sarog, regardé tant par les catholiques que par les hérétiques orientaux comme un des plus célèbres docteurs syriens, vivait dans la seconde moitié du v° siècle. Sa science profonde et ses grandes vertus le firent élever au siège de Sarog ou, pour parler plus exactement, de Batna de Sarog (Sarog est une contrée de la Mésopotamie), vers l'an 319 ou 521. Il mourut le 29 novembre 522.

J'ai évité à dessein de donner au grand écrivain, appelé par ses compatriotes « la flûte du Saint-Esprit, la guitare de l'Église », le nom de saint, parce qu'il existe une controverse pour savoir si ce titre lui convient ou non.

Ceux qui le lui refusent (en général tous les savants occidentaux) s'appuient surtout sur les faits suivants: a Parmi les anciens, BarHebræus, célèbre historien jacobite, affirme que Jacques de Sarog était de sa secte. b) On a de l'évêque de Sarog : 1) une lettre aux chrétiens de Negream; or, dans cette lettre, Jacques professe le monophysisme. 2) Dans une homélie, le grand évêque admet la même doctrine. 3) Enfin, une lettre de l'évêque de Sarog contient des anathèmes, des excommunications contre Léon le Grand et le concile de Chalcédoine.

Ce sentiment est partagé par M. Guidi, savant orientaliste, professeur à la Sapience, par M. Bedjan, prêtre de la Mission, M. Martin, par Wright, etc.

Ceux qui sont de l'opinion contraire: a) objectent le culte rendu à Jacques de Sarog par différentes Églises, notamment par les Nestoriens, ennemis acharnés des Jacobites. b) Pour ce qui regarde BarHebræus, Assemani et Mgr Abbeloos répondent : Abulpharage (BarHebræus est monophysite; dès lors, rien d'étonnant, s'il classe Jacques de Sarog parmi ceux de sa secte, puisque d'autres hérétiques vont jusqu'à fabriquer souvent des pièces entièrement fausses afin de ranger des hommes illustres parmi leurs coreligionnaires. c) Quant aux lettres adressées tant aux chrétiens de Négream qu'aux moines de Mar Bassus, elles ont dû être fabriquées par des hérétiques

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