Cybèle, soit dans le lit des vallées, soit à la cime des montagnes, je bondissais partout comme une vie aveugle et déchaînée. Mais lorsque la nuit, remplie du calme des dieux, me trouvait sur le penchant des monts, elle me conduisait à l'entrée... Heures de poésie - Pàgina 175per Amédée Renée - 1841 - 177 pàginesVisualització completa - Sobre aquest llibre
| 1840 - 1060 pàgines
...aveugle et déchaînée. Mais lorsque la nuit, remplie du calme des dieux, me trouvait sur le penchant des monts, elle me conduisait à l'entrée des cavernes...légères ondulations qui écartaient le sommeil sans alt-'rer mon repos. Couché sur le seuil de ma retraite, les flancs cachés dans l'antre et la tête... | |
| 1865 - 1460 pàgines
...aveugle et déchaînée. Mais lorsque la nuit, remplie du calme des dieux, me trouvait sur le penchant des monts, elle me conduisait à l'entrée des cavernes...sans altérer mon repos. Couché sur le seuil de ma élraite, les flancs cachés dans l'antre et la tète sous le ciel, je suivais le spectacle des ombres.... | |
| Maurice de Guérin - 1865 - 524 pàgines
...aveugle et déchaînée. Mais lorsque la nuit, remplie du calme des dieux, me trouvait sur le penchant des monts, elle me conduisait à l'entrée des cavernes...sans altérer mon repos. Couché sur le seuil de ma retraita, les flancs cachés dans l'antre et la tête sous le ciel, je suivais le spectacle des ombres.... | |
| 1866 - 1004 pàgines
...lorsque la nuit, remplie du calme des dieux, me trouvait sur le penchant des monta, elle me conduirait à l'entrée des -cavernes et m'y apaisait comme elle...sans altérer mon repos. Couché sur le seuil de ma étraite, les flancs cachés dans l'antre et la tète sous le ciel, je suivais le spectacle des ombres.... | |
| 1866 - 498 pàgines
...aveugle et déchaînée. Mais lorsque la nuit, remplie du calme des dieux, me trouvait sur le penchant des monts, elle me conduisait à l'entrée des cavernes...et m'y apaisait comme elle apaise les vagues de la mur, laissant survivre en moi de légères ondulations qui écartaient le sommeil sans altérer mon... | |
| ludwig herrig - 1866 - 1012 pàgines
...aveugle et déchaînée. Mais lorsque la nuit, remplie du calme des dieux, me trouvait sur le penchant des monts, elle me conduisait à l'entrée des cavernes et m'y apaisait comme *He apaise les vagues de la mer, laissant survivre en moi de légères ondulations qui écartaient... | |
| George Sand - 1869 - 314 pàgines
...des cavernes, et tti'y apaisait comme elle apaise les vagues de là mer, laissant survivre en moi dé légères ondulations qui écartaient le sommeil sans...les flancs cachés dans l'antre et la tête sous le c'Iél , je suivais le Spectacle des ombres. Alors la vie étrangère qui m'avait pénétré durant... | |
| George Sand - 1876 - 312 pàgines
...aveugle et déchaînée. Mais lorsque la nuit , remplie du calme des dieux , me trouvait sur le penchant des monts , elle me conduisait à l'entrée des cavernes,...elle apaise les vagues de la mer, laissant survivre on moi de légères ondulations qui écartaient le sommeil sans altérer mon repos. Couché sur le... | |
| Maurice de Guérin - 1882 - 534 pàgines
...aveugle et déchaînée. Mais lorsque la nuit, remplie du calme des dieux, me trouvait sur le penchant des monts, elle me conduisait à l'entrée des cavernes...apaisait comme elle apaise les vagues de la mer, laissant bai-vivre en moi de légères ondulations qui écartaient le sommeil sans altérer mon repos. Couché... | |
| 1925 - 810 pàgines
...paru appeler la langue des dieux. Qui de nous oublierait l'étonnant couplet des vertus de la Nuit : Couché sur le seuil de ma retraite, les flancs cachés...sous le ciel, je suivais le spectacle des ombres, ou : Le vieil Océan père de toutes choses... les nymphes qui l'entourent décrivent en chantant un... | |
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