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pas faute d'enrichir le vocabulaire de l'argot des dépouilles du langage proverbial et populaire, en y joignant quelques reliefs d'une qualité plus relevée, qui, comme bien d'autres choses, étaient tombés de la noblesse à la bourgeoisie, et qui, mis également à la réforme par celle-ci, ne figuraient plus dans l'inventaire de la langue usuelle. Des exemples, appuyés de passages de nos anciens auteurs, ne laisseront aucun doute sur ces deux points; nombre d'entre eux serviront en même temps à démontrer certaines choses que nous n'avons pas encore dites, comme ils ajouteront souvent une confirmation à celles sur lesquelles nous n'avons point à revenir, si ce n'est pour un autre objet. Pour atteindre ces différents buts, nous avons tout lu, depuis les chansons de geste de l'époque la plus reculée jusqu'aux vaudevilles, aux chansons et aux canards de la nôtre, pénétré que nous sommes de cette vérité ainsi énoncée par le président Fauchet : « Il n'y a si pauvre autheur qui ne puisse quelquefois servir, au moins pour le tesmoignage de son temps (160). »

NOTES.

(1) Notions élémentaires de linguistique, etc. Paris, Eugène Renduel, 1834, in-8°, pag. 59. (2) Ibid., pag. 278.

(3) Diatribe du docteur Néophobus contre les fabricateurs de mots, dans la Revue de Paris, nouvelle série, tom. LXXXVI, pag. 31.

le (4) Voyez, sur les mendiants de Rome, mémoire de M. Naudet, intitulé Des Secours publics chez les Romains. (Mémoires de l'Institut royal de France, Académie des inscriptions et belles-lettres, tom. XIII, pag. 11, 12 et 81-84.) Il paraît que, du temps de Plante, leur rendezvous était la porte Trigemine (Capt., I, 1, 22); ils se tenaient aussi non loin de là, sur le pont de bois qui joignait le quartier du Janicule au reste de la ville. (Sen., De Vita beata, 25.) La nuit, ils allaient louer quelque retraite sous les arbres du bois d'Aricie :

Omnis enim populo mercedem pendere jussa est
Arbor, et ejectis mendicat silva Camenis.

Juven., III, 18, 16. Cf. IV, 116.

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Aussi vicieux que les nôtres, les gueux de Rome avaient recours aux mêmes ruses pour exciter la compassion des passants. Sénèque le père, dans ses Controverses, met en scène un mendiant accusé d'avoir estropié de diverses manières des enfants qu'il avait recueillis, pour ler en public le spectacle de leur misère, et les faire mendier avec plus de bénéfice. Au reste, le profit devait être peu considérable, si l'on songe à la dureté romaine, qui me paraît avoir inspiré ces paroles que Plante met dans la bouche du vieillard du Trinummus : « C'est rendre un mauvais service au mendiant que de lui donner de quoi manger ou boire; car on perd ce qu'on lui donne, et on prolonge sa vie pour

misère. »

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pas à cette époque que florissaient les nations dont parle Scarron au livre VII de son Virgile travesti ?

Les peuples natifs d'Amiterne,
Dont l'enseigne est une lanterne,
Et ceux qu'on nomme Mutusquois,
Auteurs du langage narquois.
Dont l'enseigne est une épousée.

Quoi qu'il en soit, cet écrivain proclame implicitement la haute antiquité de l'argot, quand, un peu plus loin, il fait dire à Évandre, qui est en train de parler de Priam à Enée :

Je lui donnai deux arcs turquois,
Un vocabulaire narquois, etc.

(7) Voyez également le Dictionnaire étymologique de la langue françoise, de Ménage, édit. de Jault, tom. 1er, pag. 82.

(8) Voyla d'ond vint la grand cholere
Que Ragot n'osta son bonnet.
Epistre de l'asne au coq, respon-
sive à celle du coq à l'asne, at-
tribuée à Cl. Marot.

« L'eau beniste est-elle tousjours en la cour à aussi bon marché qu'elle souloit estre?.... Pathelin et Ragot y ont-ils tousjours force disciples? » (Deux Dialogues du nouveau langage françois italianisé, etc., sans lieu ni date, in-8°, pag. 229.)

« Je croy que si l'on eust esté curieux de recueillir les bons mots, traicts et tours dudict Brusquet, on en eust fait un très-gros livre; et jamais il ne s'en vit de pareils, et n'en desplaise à Pinan, à Arlod, ny à Villon, ny à Ragot, ny à Moret, ny à Chicot, » etc. (Vies des grands capitaines, liv. Ier, chap. LXIX: le mareschal de Strozze; Cuv. compl. de Brantôme, éd. du Panthéon littéraire, tom. Ier, pag. 175, col. 1.)

« Les mareschaux de camp qui traînent cette cadene, sont Ragot et du Halde, » etc. (Les Avantures du baron de Fæneste, liv. IV, chap. xx.)

« Aux arballettriers les traicts de Ragot ferrez

de dents de poisson,» etc. (Les Estreines universelles de Tabarin, édit. des Joyeusetez, pag. 10.)

un nombre de canailles

Qui n'ont le plus souvent doubles, deniers, ny [mailles, Qui font plus que Ragot, ce grand maistre des [gueux,

(Que la gloire faict vivre encore parmi eux) De subtils et bons tours, etc. La Response à la misere des clercs des procureurs, etc., par madame Choiselet et consorts, ses disciples. A Paris, M. DC. XXVIII., in-8°, pag. 14.

(9) « Quoy? (dit Tailleboudin) nous nous connoissons ensemble, voire sans jamais nous estre veuz, avons noz ceremonies propres à nostre mestier, amirations, serments pour inviolablement garder nos statutz, que de feu bonne memoire Ragot, nostre antecesseur, a tiré de beaucoup de bonnes coustumes, et avecques ajousté de son esprit, » etc. (Discours d'aucuns propos rustiques facetieux... ou les ruses et finesses de Ragot, capitaine des gueux, etc. M.DCC.XXXII., in-12, pag. 84.) A la page 87, Tailleboudin parle du jargon dont lui et ses pareils faisaient usage.

Dans les Epithetes de M. de la Porte Parisien (à Lyon, par Benoist Rigaud, M. D.XCII., petit in-12, fol. 48 ro), belistre a pour épithète fils de Ragot.

(10) Supplément au Glossaire de la langue romane. Paris, chez Chassériau et Hécart, 1820, in-8°, pag. 25, col. 1.

(11) Curiositez françoises, pour supplement aux Dictionnaires... par Antoine Oudin, Secretaire Interprette de Sa Majesté. A Paris, chez Antoine de Sommaville, M.DC.XL., in-8°, pag. 407.- Imprimé à Rouen, et se vend à Paris, chez Antoine de Sommaville, M. DC. LVI., in-8°, pag. 357.

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Alex. Privat d'Anglemont. Paris, P. Januet, 1854, in-18, pag. 190.)

Auparavant, probablement à l'époque où le Diorama faisait fureur, c'est-à-dire vers 1823, on parlait en rama. Voyez le Père Goriot, de Balzac, chap. 1. (Une pension bourgeoise.)

On trouve au catalogue Nodier, 1844, no 946, l'indication d'un ouvrage intitulé Relation du royaume de Candavia, écrit dans une langue factice formée de phrases composées de mots qui ne présentent point de sens, étant mis ensemble, quoiqu'ils semblent se rapporter à un sens suivi et continu. Il existe une lettre de ce genre dans les OEuvres de Vadé.

Enfin dans les Jeux de l'Inconnu, etc. (à Rouen, chez Jacques Cailloué, M. DC. XXXXV., in-8°, pag. 63-74), il y a un chapitre intitulé le Courtisan Grotesque, dont voici le commencement: « Le Courtisan Grotesque sortit un jour intercalaire du Palais de la bouche, vestu de verd de gris, etc. Tout est dans ce genre.

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(13) Dict. étymol. de la langue franç., tom. 1er, pag. 83, col. 1.

(14) Examen critique des dictionnaires de la langue françoise, etc. Paris, Delangle frères, M.DCCC.XXIX., in-8°, pag. 85.

(15) Ibid., pag. 46 et 47.

(16) Art. sur madame de Sablé, dans la Revue des Deux Mondes, 1er mars 1854, pag. 882.

(17) Dictionnaire comique, satyrique, critique, burlesque, libre et proverbial, tom. 1o, art. ARGOT. « Ils ont, dit Ambroise Paré, un certain jargon par lequel ils se connoissent et entendent les uns les autres, pour mieux decevoir le monde, et sous ombre de compassion on leur donne l'aumosne, qui les entretient en leur meschanceté et imposture. » (Œuvres complètes d'Ambroise Paré, liv. XIX, chap. xx; édit. de J.-F. Malgaigne. A Paris, chez J.-B. Baillière, 18401841, grand in-8°, tom. III, pag. 49, col. 1.)

(18) « ARTIS, langage de matois, et jargon pour aptos.» (Celt-hellenisme, ou, Etymologic des mots françois tirez du Græc, etc. Par Leon Trippault. A Orleans, par Eloy Gibier, 1581, in-8°, pag. 27.) Comme on le verra plus loin, d'Assoucy fait quelque part l'éloge de « ce langage de Larty, qui n'est commun qu'à ceux qui entriment sur le Ligourt et le passe Ligourt. (19) Freres de la cuque ou de la manicle, .i. filous, voleurs, coupeurs de bourses. » (Curiositez françoises, 1re édit., pag. 236; 2o édit., pag. 183.)

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(20) Histoire generale des larrons, divisée en trois livres. I. Contenant les cruautez et meschancetez des Voleurs. II. Des ruses et subtilfez des Couppeurs de Bourses. III. Les finesses, tromperies et stratagemes des Filous, Par F. D. C.

Lyonnois. A Lyon, chez Claude la Riviere, Jacques Justet, Horace Huguetan, M. DC. LXIV., in-8°, liv. III, chap. xIII, pag. 22, 23. - A Rouen, chez Jean-Baptiste Besongne, M.DCCIX, in-8°, au même endroit. Je suppose que c'est de la même édition qu'il y a des exemplaires portant l'indication de Rouen, Jean-Baptiste Machuel, et de Paris, Belley, 1709, comme l'exemplaire de Méon, et celui de Nodier, qui a passé plus tard chez Taylor. Voyez pag. 496, no 4020, du catalogue du premier; le catalogue du second (Paris, 1844), pag. 192, no 1200, et celui du troisième, pag. 504, n° 2630.

(21) La Doctrine curieuse des beaux esprits de ce temps, etc. A Paris, chez Sebastien Chappelet, M DC XXIII, in-4o, liv. jer, sect. xi, chap. II, pag. 68.

(22) On lit dans un pamphlet écrit contre Receveur, inspecteur de la police de Paris, et intitulé le Diable dans un bénitier (1784, in-8°), pag. 32 « Les voleurs ont un argot, et les gens de la police un autre ceux-ci insultent avec une cruauté sans égale aux maux de ceux-là. Quand ils les ont chargés de fers, ils disent entre eux qu'ils leur ont mis la mousseline.....»

A la page suivante, on voit que Receveur, pour dire tirer des révélations d'un voleur, disait tirer la carotte.

(23) On lit dans les Mémoires de mademoiselle Dumesnil, cités dans le Petit Dictionnaire des coulisses, 1835, in-18, pag. 13: « De mon temps, les comédiens avaient un argot qui leur était particulier. Pour demander combien paiet-on pour entrer à la comédie? on disait : Combien refile-t-on de la logagne pour allumer la boulevetade? La troupe s'appelait la banque. Pour demander: Celui qui est à côté de vous est-il un comédien? on faisait ainsi la question : Le gonze qui est à votre ordre est-il de la banque? Si l'interrogé voulait répondre négativement, il disait : Non, il est lof comme le Raboin; ce qui signifiait: Il est profane comme le Diable. Ce dialecte était très-abondant, et comprenait à peu près tout ce qui peut se dire en français. Préville le jargonnait à merveille.»

-«Mais je parle l'argot du Théâtre lyrique, >> dit un personnage d'une comédie de M. de Boissy, le Triomphe de l'Interest, sc. Iv. Il est à croire qu'il s'agit ici d'autre chose que du jargon signalé par Mlle Dumesnil.

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(25) Journal des Savans, 1837, pag. 90. La Fontaine est moins dur dans sa fable le Marchand, le Gentilhomme, le Pátre et le Fils de roi (liv. X, fable xvi), quand il dit :

Le noble poursuivit :

« Moi, je sais le blason, j'en veux tenir école ; » Comme si devers l'Inde on eût eu dans l'esprit La sotte vanité de ce jargon frivole!

(26) Les Jaloux, comédie de Pierre de l'Arivey, act. V, sc. II.

(27) Curiositez françoises, au mot Compagnon.

(28) Ibidem, au mot Midy.

Un petit coureur de landy,

Un gourmand, un cherche-midy.

Ovide travesty, fable 1x (Les Amours
d'Apollon et de Daphné); dans les
Euvres de monsieur d'Assoucy.
A Paris, chez Thomas Jolly,
M. DC. LXVIII., in-12, pag. 60.

(29) Cur. fr., au mot Parent.
(30) Je n'estois pas si défroquée

Du temps que messieurs les laquais...
Pour moy quittoient Margot la fée...
Et que messieurs portans serpettes,
Mes valeureux taille-goussets,
Dont les mains gourdes en pochettes
Se rechauffent à peu de frais,
Venoient ouïr de mes clochettes
Les tons si doux et si parfaits.

Plainte de la Samaritaine sur la
perte de son Jacquemart, et le
débris de la musique de ses clɔ-
ches, v. 84-96. (Les Rimes redou-
blées de monsieur d'Assoucy. A
Paris, de l'imprimerie de Claude

Nego, M. DC. LXXI., in-12, pag. 17.)

(31) Cur. franç., au mot Carabin. (32) Voyez, sur cette expression, qui, du temps de Regnier, désignait un filou, un coupeur de bourse, la satire X de ce poëte; les Jeux de l'Inconnu, etc., édit. de M. DC.XXXXV., in-8°, pag. 381; les Curiositez françoises d'Oudin, 1re édition, pag. 377, et les Recherches françoises et italiennes, du même, pag. 396, col. 1, au mot Officier de la courte espée. Adrien de Montluc, dans sa Comedie des proverbes, act. Ill, sc. Iv, se sert de l'expression de gentils hommes à la courte épée, qui avait le même sens. D'Assoucy, parlant de Mercure, dit:

Ce gentilhomme à courte-espée
Qui va plus viste du jaret

Qu'un décharné diable soret, etc.

Le Ravissement de Proserpine, etc. A Paris, chez Pierre David... M. DC. LVI., in-4°, ch. Ier, pag. 10.

Ailleurs, le même écrivain nomme les filons chevaliers de la serpette. Voyez la Prison de monsieur d'Assoucy, etc. A Paris, de l'imprimerie d'Antoine de Rafflé, M. DC. LXXIV., petit in-12, pag. 2, 107.

Un autre écrivain parle des « apparieux de chair humaine, qui n'ont que disner, s'ils ne travaillent de la courte espée. » (La Rencontre de Gautier Garguille avec Tabarin en l'autre monde, etc., édit. des Joyeusetez, pag. 16.)

(33) Poisson, la Mégère amoureuse, act. II.— Curiositez françoises, pag. 191.

(34) Curiositez françoises, pag. 236, 377. La première partie des Recherches françoises et italiennes, pag. 509, col. 1.

(35) Cur. fr., pag. 438. La prem. Part. des Rech. fr. et ital., pag. 441, col. 2.

Dans un autre ouvrage du même compilateur je trouve Les corbineurs du Palais, Ladrones palaciegos. Voyez Seconde partie du Thresor des deux langues espagnolle et françoise, etc. A Paris, chez Marc Orry, MDCII, in-4°, feuillet signé N verso, col. 1.

(36) Cur. fr., pag. 433.

Il y fait donc encor sejour...

Et s'y fourre à travers les choux,
Parmi plumets, braves, filoux,
Et gens qui subsistent par brigue,
Par artifice et par intrigue.

Furetiere, le Voyage de Mercure, sa-
tyre, etc. A Paris, chez Louis Cham-
houdry, M. DC. LIII., in-4o, liv. IV,
pag. 89.

Voyez dans la vraye Histoire comique de Francion (à Leyde, chez Henry Drumond, M.DCCXXI., in-8°, liv. II, tom. Ier, pag. 83), la raison de ce nom, que je retrouve, avec un sens peut-être moins injurieux, dans le Voyage de Mercure, pag. 88, et dans Ulisse et Circé(1691), act. III, se. xi. (Le Théâtre italien de Gherardi, tom. III, pag. 506.) On lit coqueplumets, dans la Satyre Menippée, avec le sens de batteurs de pavé. Voyez la harangue de monsieur de Lyon. Cf. Gloss. med. et inf. Latin., in-4, tom. V, pag. 312, col. 1, v° Plumarius.

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(37) Inventaire general de l'Histoire des larrons, liv. II, chap. x.

(38) Les passages suivants indiquent suffisamment le sens qu'on attachait à ce dernier met dans notre vieille langue :

Les boirs du deffunct Pathelin
Qui sçavez jargon jobelin,

Capitain du Pont-à-Billon,
Tous les subjetz François Villon,
Soyez à ce coup reveillez.

Les Repues franches, v. 17.

MALLEPAYE.

Aux povres duppes?

Et aux rustes?

(39)

(40)

BAILLEVANT. La havée. MALLEPAYE.

BAILLEVANT.

Le jobelin.

Dialogue de messieurs de Malle
paye et de Baillevant, v 140.

Ha! maistre Pierre Pathelin,
Le droict joueur du jobelin,
Ayez en Dieu confiance.

Le Testament de Pathelin, édit. de
Coustelier, pag. 118.

Les ungz par leur fin jobelin,
Fournissent à l'apoinctement;
Les autres par leur pathelin,
D'un cedo bonis nettement.

Coquillart, le Monologue des Perruc-
ques, édit. de Coustelier, pag. 118.

CLIKES.

Santissiés pour le marc dou cois,
Et pour son gengon qui la seme.
PINCEDÉS.

Voire, et qui maint bignon li teme,
Quand il trait le bai sans le marc.
Théâtre françois au moyen âge,
pag. 182.

Ci finent les trois decades

De Titus, qui sont moult sades,
Escriptes par Raoul de Taingui,
Qui n'est pas forment amaigri...
Toudis piant du meilleur...
Dont me rapport à Petiot,

Fors aux pians et aux crupaux,
Comme freres et catervaux.
Si prie Dieu, le roy Jhesus...
Qu'il doint à monseigneur regnum celorum.
Amen.
Catervaument,
Non tuffaument.

Voyez les Manuscrits françois de la Bibliothèque du Roi, tom. 11, pag. 288.

Dans l'Entr'acte du 14 septembre 1853, je trouve quatre vers que M. Baraton donne comme étant les derniers de la chanson des truands de 1480: j'ignore où cet écrivain les a pris; mais je doute qu'ils soient du temps.

(41) Yci viengnent les quatre sergens de Pilate aux sergens de Anne et de Cayphe, et les autres se vont armer.

GRIFFON.

Dieu gard les gneux de fier plumaige. Comme se compassent millours?

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