Archives d'histoire doctrinale et littéraire du moyen âge, Volums 23-24;Volums 31-32

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Étienne Gilson, Gabriel Théry
J. Vrin, 1957
 

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Frases i termes més freqüents

Passatges populars

Pàgina 70 - HAURÉAU, Notices et extraits de quelques manuscrits latins de la Bibliothèque Nationale, t. I, Paris, 1890, p. 206. 223) Par exemple : Versus de destructione Romae, Responsio Urbis Romae, De triplici domo hominum; Cf. B. HAURÉAU, Les Mélanges poétiques d' Hildebert de Lavardin, Paris, 1882, pp.
Pàgina 83 - ou « la nature l'a exigé ainsi. » Mais les mêmes réponses, on pourra les faire à la première question. Il faut que tu comprennes mon opinion à fond. Certes, je suis loin de croire qu'une chose quelconque puisse être inconnue à Dieu, ou de lui attribuer l'impuissance; mais je crois que la Providence dépend de l'Intelligence à laquelle elle est intimement liée. En effet, la Providence ne peut émaner que d'un être intelligent et particulièrement de celui qui est une Intelligence parfaite...
Pàgina 24 - Une telle existence, toutefois, pourrait être au-dessus de la condition humaine. L'homme ne vit plus alors en tant qu'homme, mais en tant qu'il possède quelque caractère divin ; et autant ce caractère divin l'emporte sur ce qui est composé, autant cet acte excellera par rapport à celui qui résulte de toutes les autres vertus.
Pàgina 110 - I, p. 191, (B p. 142). Quod alicui per se convenit numquam separatur ab ipso. Rotunditas suapte natura circulo inest atque ideo nullus umquam sine rotunditate est circulus. Ligno autem quandoque rotunditas inest, non quia lignum est (omne enim lignum [alioqui] rotundum esset), sed quia ab artifice figuram accipit circularem quam rotunditas comitatur, ideo tunc rotunditatem capere cogitur.
Pàgina 66 - De la substance indivisible et qui se comporte toujours d'une manière invariable, et de la substance divisible qui est dans le corps, Dieu a composé entre les deux, en les mélangeant, une troisième sorte de substance intermédiaire comprenant et la nature du Même et celle de l'Autre.
Pàgina 59 - I. La première opinion, embrassée par tous ceux qui admettent la loi de Moïse notre maître est celle-ci : Que l'Univers dans sa totalité, je veux dire tout être hormis Dieu, c'est Dieu qui l'a produit, du néant pur et absolu ; qu'il n'avait existé (d'abord) que Dieu seul et rien en dehors de lui, ni ange, ni sphère, ni ce qui est à l'intérieur de la sphère céleste ; qu'ensuite il a produit tous ces êtres, tels qu'ils sont, par sa libre volonté et non pas...
Pàgina 93 - Et la lumière de la lune sera comme la lumière du « soleil, et la lumière du soleil sera sept fois plus « brillante, comme la lumière de sept jours ensem« ble, lorsque le Seigneur aura bandé la plaie de « son peuple et guéri la blessure qu'il avait recue.
Pàgina 118 - C'est pourquoi les choses séparées, qui ne sont ni un corps ni une force dans un corps, n'admettent aucunement l'idée de nombre, si ce n'est dans ce sens qu'elles sont des causes et des effets (les unes des autres) »l.
Pàgina 231 - Dei caritas, per quem nos tota inhabitat Trinitas. Quocirca rectissime Spiritus Sanctus, cum sit Deus, vocatur etiam donum Dei. Quod donum proprie quid nisi caritas intellegenda est, que perducit ad Deum, et sine qua quodlibet aliud Dei donum non perducit ad Deum.

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