 Mes regards couraient librement et gagnaient les points les plus éloignés. Comme des rivages toujours humides, le cours des montagnes du couchant demeurait empreint de lueurs mal essuyées par les ombres. Là survivaient, dans les clartés pâles, des...  Heures de poésie - Pàgina 175per Amédée Renée - 1841 - 177 pàginesVisualització completa - Sobre aquest llibre
 | 1840 - 1060 pàgines
...leur sein venaient de me laisser sur le haut de la montagne, comme un dauphin oublié sur les sirtes par les flots d'Amphitrite. Mes regards couraient...par les ombres. Là survivaient, dans les clartés pâles, des sommets nus et purs. Là , je voyais descendre tantôt le dieu Pan , toujours solitaire,... | |
 | 1840 - 1068 pàgines
...oublié sur les sirtes par les flots cTAmphitrite. Mes regards couraient librement et gagnaient Tes points les plus éloignés. Comme des rivages toujours...par les ombres. Là survivaient, dans les clartés paies, des sommets nus et purs. Là , je voyais descendre tantôt le dieu Pan , toujours solitaire1,... | |
 | George Sand - 1843 - 372 pàgines
...laisser sur le haut de la montagne , comme un dauphin oublié sur les sirtes par les flots d'Aunphitrite. humides , le cours des montagnes du couchant demeurait...par les ombres. Là survivaient, dans les clartés pâles, des sommets nus et purs. Là , je voyais descendre tantôt le dieu Pan , toujours solitaire... | |
 | Maurice de Guérin, Charles Augustin Sainte-Beuve - 1864 - 524 pàgines
...sein venaient de me laisser sur le haut de la montagne, comme un dauphin oublié sur les Sirtes parles flots d'Amphitrite. Mes regards couraient librement et gagnaient les points les plus éloignés. Gomme des rivages toujours humides, le cours des montagnes du couchant demeurait empreint de lueurs... | |
 | George Sand - 1876 - 396 pàgines
...leur sein venaient de me laisser sur le haut de la montagne, comme un dauphin oublié sur les sirtes par les flots d'Amphitrite. Mes regards couraient...par les ombres. Là survivaient, dans les clartés pâles, des sommets nus et purs. Là, je voyais descendre tantôt le dieu Pan, toujours solitaire,... | |
 | Maurice de Guérin - 1865 - 524 pàgines
...sein venaient de me laisser sur le haut de la montagne, comme un dauphin oublié sur les sirtes parles flots d'Amphitrite. Mes regards couraient librement...par les ombres. Là survivaient, dans les clartés pâles, des sommets nus et purs. Là je voyais descendre tantôt POEMES. le dieu Pan, toujours solitaire,... | |
 | Maurice de Guérin - 1868 - 530 pàgines
...sein venaient de me laisser sur le haut de la montagne, comme un dauphin oublié sur les sirtes parles flots d'Amphitrite. Mes regards couraient librement...par les ombres. Là survivaient, dans les clartés pâles, des sommets nus et purs. Là je voyais descendre tantôt le dieu Pan, toujours solitaire, tantôt... | |
 | George Sand - 1869 - 314 pàgines
...siries par lés flots d'Ampliltfite. . Mes regards couraient librement et gagnaient les poihte lus plus éloignés. Comme des rivages toujours humides, le cours des montagnes du coucllant demeurait ethpr'eint de lueiirs mal essuyées par lés Ombres. Là survivaient, dans les... | |
 | George Sand - 1876 - 402 pàgines
...leur sein venaient de me laisser sur le haut de la montagne, comme un dauphin oublié sur les. sirtes par les flots d'Amphitrite. Mes regards couraient...par les ombres. Là survivaient, dans les clartés pâles, des sommets ' nus et purs. Là, je voyais descendre tantôt le. dieu Pan, toujours solitaire,... | |
 | George Sand - 1876 - 312 pàgines
...comme un dauphin oublié sur les sirtes par les flots d'Amphitrite. Mes regards couraient libremer.tet gagnaient les points les plus éloignés. Comme des...par les ombres. Là survivaient^ dans les clartés pâles, des sommets nus et purs. Là, je voyais descendre tantôt le dieu Pan , toujours solitaire... | |
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